T’es jeune, t’es bright, t’as un emploi (ou deux), un bac à finir, un chat à nourrir, et un horaire qui change plus souvent que ton algorithme TikTok. Bref, t’es un Djobeur dans l’âme.
Et si on se disait les vraies affaires : tu veux pas juste travailler. Tu veux apprendre, évoluer, et surtout ne pas devenir le genre d’adulte qui compte les jours avant le vendredi.
Travailler fort, oui. Mais pas n’importe comment.
Les chiffres le confirment : les jeunes au Québec bossent plus que la moyenne canadienne (Statistique Canada, 2025). Et pourtant, un sur trois prévoit déjà changer d’emploi dans l’année (Randstad Canada, 2025). Pas parce qu’ils sont « instables », mais parce qu’ils refusent de stagner.
Traduction libre : « Si je grandis pas ici, j’irai pousser ailleurs. »
Tu veux une job qui t’apprend quelque chose, pas juste un horaire qui t’use. Tu veux de la flexibilité, pas un patron qui t’écrit à 22 h pour dire « peux-tu rentrer demain à 6 h? ».
Tu veux te sentir respecté, payé, et utile. Bref, tu veux du concret.
Le vrai luxe? Choisir ton horaire (et ta vie)
Oublie le fantasme du bureau à aire ouverte avec baby-foot. Le vrai luxe aujourd’hui, c’est de choisir quand tu travailles et avec qui.
Et ça, c’est littéralement la base de Djob : tu vois les quarts disponibles, tu choisis ceux qui fit avec ton horaire (ou ta session), tu accumules de l’expérience, et tu fais grandir ton CV entre deux cafés.
Flexibilité sans chaos, autonomie sans panique. C’est le parfait combo entre liberté et structure — un concept que même ton prof d’économie aurait du mal à décrire sans PowerPoint.
Grandir sans vieillir
Ce que la Gen Z veut, c’est apprendre, pas juste « performer ».
Avec Djob, chaque quart peut devenir une opportunité d’avancer : tu accumules des compétences, tu bâtis ta réputation, et tu choisis les milieux où tu veux te développer. Pas besoin d’attendre qu’un boss t’accorde sa bénédiction : tu prends ton parcours en main, un shift à la fois.
C’est simple : tu gagnes de l’argent aujourd’hui pendant que tu construis ta carrière de demain.
Multi-tasking? Non. Intelligence stratégique, merci.
Djob, ton plan B qui devient ton plan A
Djob, c’est pas juste une app de quarts de travail. C’est un GPS pour ton futur pro.
Tu veux tester différents secteurs? Go. Tu veux combiner études et expérience? Go. Tu veux te créer un réseau sans faire semblant d’aimer les 5 à 7? Encore go.
Les entreprises sur Djob cherchent des gens comme toi : motivés, curieux, allergiques à la routine.
Et contrairement à la rumeur, la « stabilité », ça peut aussi rimer avec « flexibilité ». Surtout quand t’as le pouvoir de choisir tes jobs, tes heures, et même ton vibe de semaine.
Moralité : arrête de courir après la “job parfaite”
Elle existe déjà. Elle t’attend dans ton téléphone.
Djob, c’est la liberté version professionnelle : tu choisis, tu travailles, tu progresses, sans perdre ta santé mentale ni ton sens de l’humour.
Et si la génération Z est « infidèle », c’est juste parce qu’elle sait qu’elle mérite mieux.
Spoiler : « mieux », c’est ici.
Références
- Statistique Canada. (2025). Enquête sur la population active, septembre 2025.
- Randstad Canada. (2025). Gen Z is ambitious, restless and changing Canada’s labour market.
- OCDE. (2024). Employment Outlook — Canada.




